© Vincent Héquet
http://www.bricabook.fr/2015/06/atelier-decriture-en-ligne-182-e/
Il faisait nuit noire quand il arriva enfin, celui que tous attendaient.
– Le voilà! entendit-on de toutes parts. Le voilà! C’est lui!
Grand et maigre, il s’avança vers eux dans ses habits noirs élimés.
Louis-Henri, celui qui était en guerre contre le soleil.
Inutile de voir son visage pour le reconnaître.
Même son carrosse portait fièrement ses cornes.
Un ami de Crommelynck, ce Montespan ?
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Monsieur Walrus est connaisseur!
😉
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Texte énigmatique et poétique, très réussi !
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Bonjour,
Cocufier un Gascon, quelle ignominie !
Bravo pour ton texte.
Bisous gascons ♥♥
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Les commentaires me sont bien utiles, parfois 🙂
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Je pensais, voyant l’illustration, aux aventures de Masquerouge de Cothias et Juilliard et puis je suis allé me cultiver ici :
Cliquer pour accéder à CG33-03.pdf
Du coup, cela me rappelle un autre Pardaillan, celui de Michel Zévaco. Une série qu’on dévorait -en papier – dans la famille. Je la possède toujours et m’y replongerai bientôt.
Et donc je me souviens de Gérard Barray !
http://lecoinducinephile.skynetblogs.be/archive/2014/11/04/le-chevalier-de-pardaillan-1962-8318920.html
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Louis-Henri, je ne crois pas, mais peut-être Jean Teulé ?
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il a tout lu, Mme Chapeau, et connaît par coeur le Mundaneum 😉
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merci, Albertine!
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en tout cas, c’est avec panache qu’il a porté ses cornes 😉
(et refusé tous les avantages inhérents à la chose…)
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je sais que je peux compter sur mes commentateurs, monesille 😉
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j’ai dû voir ce film à la télé, un samedi soir de mon enfance chez mes grands-parents 🙂 mais je pense qu’il existe une version « bibliothèque verte », je devrais vérifier…
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Bof, contrairement à toi, j’ai même pas encore lu le dernier Vargas (et je peine sur le dernier Eco)
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rrrhô le cornu ? et il le sait ? Mais tous le savent à la cour
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hé oui, revenir de la guerre après onze mois d’absence et trouver sa femme enceinte, ne peut pas invoquer l’esprit saint qui veut 😉
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Oui, mais vous connaissez Marcel.
😉
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Il me semblait bien, bibliothèque verte n°235 : Michel Zévaco, Le Chevalier de Pardaillan, illustrations de François Batet, paru en 1963 (1re édition)
Merci wiki-sait-tout 🙂
http://www.cinemotions.com/Le-chevalier-de-Pardaillan-Collection-Bibliotheque-verte-cartonnee-illustree-n-235-1ere-edition-Hachette-de-1963-prd675181
Je ne l’ai pas lu mais je l’ai eu en mains, ça, c’est sûr 😉
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Trop, hélas !
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Bravo pour cette érudition !
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si vous aimez, lisez Jean Teulé, Le Montespan, je l’ai trouvé excellent 🙂
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Tilt ! je n’avais pas compris tout de suite quand j’avais lu ton article la dernière fois. Je crois qu’il existe même une BD soit d’après le roman, soit d’après l’histoire, la Montespan, quand même, une sacrée nana ! Mais « la vieille Guenippe » (comme l’appelait gentiment la Palatine) a quand même eu sa peau.
J’arrive difficilement à lire Jean Teulé, pourtant, c’est le genre d’histoire que j’aime bien. J’ai lu des comptes-rendus de son dernier bouquin, mais horreur, je ne sais déjà plus ce que c’est… (Ah oui, petit tour sur gougele), Héloïse et Abélard.
Je pense aussi que j’irai voir le film « Les jardins du Roi », de et avec Alan Rickman (il a vieillli, hélas, depuis Raison et sentiments de Ang Lee) avec l’acteur belge qui ouh ! Comme disait une de mes amies, s’il était dans mon appart, je n’irais pas dormir dans ma baignoire (malgré la chaleur!)
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son Montespan me va, ses autres livres non (pour autant que j’en aie commencé la lecture)
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