Question existentielle dendrophile

2019-10-31 (1)

Comment se fait-il qu’un arbre, même seulement quelques-unes de ses branches, suffit à embellir le paysage?

A lui donner de la vie, de la profondeur, de la couleur.

Et à donner à l’Adrienne l’envie de sortir son appareil photo 😉

Photo prise dans la grisaille du 31 octobre, en route vers le Louvre.

28 commentaires sur « Question existentielle dendrophile »

  1. J’aime les arbres (sans aller jusqu’à y vivre comme certains… 😉 )
    Les arbres sont vivants, leurs feuilles bougent au vent, ils oxygènent l’air, ils portent des fleurs (sauf les conifères) plus ou moins visibles… Tout le contraire des immeubles.

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    1. pour un arbre, je le sors même chez moi 😉
      mais ici il y avait un élément de plus, ce bonnet noir accroché aux branches… que seule une main humaine pouvait avoir jetée en cet endroit (et il faisait bien froid)

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  2. Les arbres sont les vêtements légers des villes, habillant de leurs feuilles aux reflets changeants des artères trop souvent indifférentes, donnant aux jardins publics des airs de jeunes filles au printemps, de vieillards décharnés en hiver, pour renaître toujours …

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  3. Avant d’avoir lu les comms , je n’avais pas saisi que c’était un bonnet noir et qu’il était dans l’arbre.
    Mais tu as bien raison pour les arbres : à toutes les saisons, les arbres nous parlent. Auprès de mon arbre, je vivais heureux, chante Brassens.

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