Première impression

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Pour ceux que ça intéresse: les petits piquets métalliques et le bord fraîchement bétonné indiquent où sera la voie carrossable et quel espace sera réservé au trottoir et à la piste cyclable.
On commence à avoir une première impression de l’aspect final…

Les deux derniers hortensias, qui avaient survécu à toutes les avanies précédentes, ont été définitivement piétinés.

Mais la fin des travaux est en vue: il semble que la date finale – vers le 20 mai 2020 – sera respectée.

En attendant cet heureux jour, on patauge dans la boue.

Vous savez bien, celle qui est jugée trop dangereuse pour la sécurité du facteur 😉

32 commentaires sur « Première impression »

  1. ça m’abattrait le moral de voir un tel chantier !!! ils n’y sont pas allés de main morte !
    Est-il prévu d’égayer quelque peu un paysage minéral ?
    Après les bruits du chantier, les bruits de la circulation ???

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    1. je crois bien qu’ici et là on plantera un arbre, de préférence une sorte qui ne fait ni de l’ombre, ni des feuilles, vu que les gens aujourd’hui veulent des coqs qui ne chantent pas et des vaches qui ne font pas de bouses 😉
      et oui, après les bruits de chantier reviendront ceux de la circulation!

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  2. C’est vraiment impressionnant ! Et je veux bien croire que c’est éprouvant de se déplacer dans un chantier pareil, surtout que ça dure…
    Des petits chaussons en plastique à mettre par dessus les chaussures le temps de sortir de la boue pour éviter d’être crottée en permanence ?
    Bises!

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  3. Une bonne nouvelle : en mai, fais ce qu’il te plaît !
    (Le problème des souliers crottés me rappelle les snowboots si pratiques que j’ai eus quand j’étais enfant, ils étaient en caoutchouc et on les mettait au-dessus de ses souliers. On les laissait près de la porte. Je me demande si ça existe encore.)

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  4. Quel bonheur (inconnu chez nous) que le respect des dates de fin de chantier ! La rue où nous habitons devait être rénovée en six mois, le chantier en a duré dix-huit. Pendant six mois (hiver boueux, bien entendu), nous ne pouvions plus nous garer qu’à 500 mètres de chez nous. Je ne vous raconte pas le bonheur quand nous rentrions du supermarché ! Quant à la route en prolongation de la nôtre (qui commence à ressembler à un sentier), les travaux, qui devaient être terminés en décembre 2018… n’ont pas encore commencé…

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    1. je fais toutes mes courses à pied – je me dis que c’est un bon exercice 😉 – et les travaux m’obligent à faire un assez grand détour – mais là aussi je me dis que l’exercice physique a du bon 😉
      je suis surtout contente quand de midi à midi et demi, comme en ce moment, les machines se taisent pour le casse-croûte 🙂

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      1. Le problème, c’est la disparition des petits commerces dans les petites localités. Pour acheter ne serait-ce que des légumes, aller-retour, il faut compter plus de trois kilomètres, et c’est loin d’être plat 😉 ! Alors, oui, nous le faisons parfois à pied, mais il faut du temps (beaucoup de minutes) et du temps (si pas ensoleillé, au moins sec).

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      2. si je ne dois pas faire de détour, c’est exactement un kilomètre entre la maison et le magasin, ça descend pour y aller et ça grimpe ferme pour revenir (chargée d’un sac à chaque épaule ;-)) c’est pour ça que je parle d’exercice physique 🙂

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  5. Il fut un temps où la Poste était un « service public »; c’est aujourd’hui une entreprise tenue à la rentabilité, et les facteurs qui passent trop de temps dans une rue en travaux, bottes ou pas bottes, ça n’est pas rentable !

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    1. oui, mais dans la lettre ils ne disent pas rentabilité, ils disent sécurité, l’argument de base dans notre société actuelle (on va fermer des maternités soi-disant aussi pour cette raison-là)

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