C’est la belle saison où les lutins en veste jaune fluo viennent au parc ramasser des marrons.
En classe ils y piqueront des bâtonnets pour en faire des petits chiens, des bonshommes et même tous les animaux de la terre.
Avec un peu d’imagination, bien sûr 😉
Comme l’ont fait avant eux leurs parents, leurs grands-parents, leurs arrière-grands-parents.
Le bonheur de faire crisser les feuilles mortes.
De s’en mettre plein les poches.
Faut bien que les mamans, ce soir, aient leur part de ce bonheur 🙂
Adrienne 
Samedi, nous sommes allés ramasser des châtaignes. On a aussi fait crisser es feuilles mortes.
😉
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Des châtaignes pour la dinde de Noël 😉
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Des châtaignes pour ceux qui aiment.
Notre petit fils gembloutois n’aime pas.
😉
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Moi non plus je ne les aime pas quand elles sont cuisinées
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On les fait juste cuire dans une poêle après avoir fait une petite fente dedans pour éviter qu’elles n’éclatent.
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Oui sinon on en retrouve partout dans la maison 😉
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C’était pourtant un bon côté des châtaignes quand elles éclataient sur la taque du poêle 🙂
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De beaux souvenirs cette « récolte » de marrons, ces constructions précaires…imagination sans borne, parfois la pique en bois finissait dans nos doigts plutôt que dans le marron!
Merci merci, bonne journée Adrienne
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Ah oui, on se piquait aussi les doigts 🙂
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J’aime marcher sur un tapis de feuilles mortes.
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moi aussi 🙂
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Cela reste effectivement un vrai bonheur de ramasser ces marrons ou aussi les glands car cet automne ils sont nombreux !
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oui! il y en a un épais tapis dans l’allée qui mène à l’école, les écoliers les ramassent et on en retrouve dans les rues adjacentes, après quelque combat de glands 😉
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Ah oui, quand le soleil s’en mêle, l’automne est si beau ! Maman gardait un beau marron dans la poche de chacune de ses vestes, contre les rhumatismes, comme son père.
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ah je ne connaissais pas cette coutume!
(et oui en cette saison on pense évidemment encore plus à ceux qui ne sont plus là)
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Moi, je mets des potirons dans mes poches, contre les rhumatismes aussi, et ça marche ! Je n’ai jamais eu de rhumatismes.
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Triste automne
Où j’entonne
Un vieux blues :
Nous n’avons pas eu de teillouse
(La fête du marron
A Redon)
Et pas pu chanter au Grenier à sel
Nos neumes si caractériels
– pardon, si caractéristiques –
Qui font s’bidonner le public !
Il n’y aura personne donc
Pour aller lui foutre un marron
A ce p’tit virus à la con ?
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il est très occupé à essayer de convaincre ceux qui nient son existence 😉
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J’adore littéralement l’automne !
Evidemment, cette année, c’est un peu spécial (euphémisme), mais rien n’empêche d’aller se balader en forêt, et de marcher à grandes enjambées dans les feuilles mortes, en faisant « frrrrr frrrr frrrr ».
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oui, faire « frrr frrr frrr » en ratissant le plus possible de feuilles à chaque pas 🙂
c’est ce que je compte faire dans une heure, avec une amie qui aime ça aussi
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Et même quand on était gosses, on essayait de croquer dans les marrons d’Inde, si jolis… Mais on essayait une fois, pas deux! 😉
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c’est vrai! je l’ai fait aussi, juste pour avoir une idée du goût que ça pouvait avoir… dissuasif, c’est sûr 🙂
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Mouarf ! ça me rappelle que quand j’étais jeune, l’instituteur avait un marron dans le tiroir de son bureau et lorsque l’un de nous chiquait en classe, il grattait un peu de l’intérieur du fruit avec un petit canif, l’incorporait au chewing-gum et obligeait le coupable à continuer à mastiquer. Les méthodes éducatives étaient top à l’époque !
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oui aujourd’hui avec toutes les intolérances et autres allergies, on ne peut même plus apporter des gâteaux en classe sans avoir d’abord fait cocher et signer un tas de listes d’ingrédients 😉
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Un beau texte et qui sent le vécu !
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Ah oui, tout à fait 🙂
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