22 rencontres (14 ter)

Madame avait une procuration pour la vente de l’appartement maternel, pour éviter à celle-ci tout souci ou déplacement.

C’est ainsi qu’elle s’est retrouvée à la signature finale, un lundi soir de la mi-décembre, dans une situation un peu bizarre: signer pour une autre et avoir face à soi la nouvelle propriétaire, une toute jeune ancienne élève (22 ans), son notaire, une autre ancienne élève et deux autres intervenants, l’un papa de deux anciens élèves et l’autre époux d’une ancienne élève.

Bref, une réunion d’anciens qui ne savaient pas les uns des autres que ce lien les unissait 😉

Mais le plus drôle dans cette histoire c’est que Madame, pour la première fois dans sa vie, est arrivée en retard.

Elle avait lu dans les messages du notariat que la signature aurait lieu par visioconférence et attendait donc devant son ordi – une heure à l’avance! – qu’on lui envoie le lien et le mot de passe.

30 commentaires sur « 22 rencontres (14 ter) »

      1. Exactement ! Quand pendant un an, on paie des dettes d’une femme qu’on appréciait pas. Je t’assure qu’on respire un grand coup quand on vient vous dire que sa maison va enfin se vendre. Je suis quand même sur mes gardes, la promesse de vente n’est pas encore signée , nous avons déjà vécu deux fausses joies il y a quelques semaines (refus d’emprunt de potentiels acquéreurs)

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    1. Tout à fait! c’était très bizarre (et il m’a été fort difficile d’être attentive, tout se passait comme en dehors de ma présence, alors que j’étais là de la même façon que tous les autres participants… sur écran)

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  1. C’est incroyable que tu aies retrouvé tout ce petit monde lié à ton école d’une manière ou d’une autre pour cet acte de vente ! Tu es arrivée au bout de cette lourde charge dont tu te serais bien passée, c’est le principal. Te voilà dégagée de ce souci matériel/maternel. J’imagine ton soulagement, mêlé à tant de souvenirs.
    Bonne journée, Adrienne.

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  2. Nous en avons fini avec ce genre de soucis depuis quelques années. Un grand soulagement dû au fait qu’un des notaires ne se pressait absolument pas : il lui a fallu un an pour régler une succession qui ne présentait aucune difficulté.

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  3. J’imagine aisément ton soulagement !
    24 ans après le décès de mon père, je viens de me rendre compte (il y a une semaine) que le notaire n’avait pas du tout fait ce que nous avions demandé ! J’avais géré cela à distance, par fax, et lorsque cela a été terminé, je n’ai pas relu, trop fatiguée, et voilà…

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