C’est un projet un peu fou et qui sans doute aurait dû démarrer il y a déjà de nombreuses années, puisque le premier rapport du Club de Rome concernant les limites de la croissance a déjà paru en 1972.
Mais – direz-vous – mieux vaut tard que jamais et voici les plans pour une navigation qui se ferait à l’antique, uniquement par la force des vents, aidée par la technologie d’aujourd’hui, permettant d’adapter immédiatement la « voilure » au moindre souffle et d’en tirer parti au maximum.
Oceanbird.
Oiseau de mer.
Le cargo est aussi joli que son nom. Plus petit que nos cargos actuels, moins rapide et ne pouvant transporter qu’une fraction des géants qui sillonnent nos mers…
Et pourtant il semblerait que là se situe l’avenir.
Ci-dessous, une première expérience avec un prototype en modèle réduit, présenté par un Ulysse heureux 😉
Un article en français ici, si le sujet vous intéresse.
C’est Greta qui va être heureuse 🙂
Bonne journée Adrienne.
J’aimeAimé par 1 personne
Je l’ai pensé aussi 🙂
J’aimeJ’aime
Bon vent à ce projet.
J’aimeJ’aime
Essentiel !
J’aimeJ’aime
Nous avons suivi cet Oceanbird avec immense intérêt depuis le début, en applaudissant.
Il faut souhaiter maintenant que d’obscurs intérêts ne viennent pas mettre tous les obstacles possibles au développement de cette nouvelle technique !!!
J’aimeJ’aime
Oui, qu’ils puissent passer ensuite aux bateaux de croisière 😉
J’aimeJ’aime
La marine à voile ! J’ai bien fait de garder mon sifflet de bosco !
J’aimeJ’aime
pour jouer des airs folkloriques 😉
J’aimeJ’aime
On revient peut-être enfin dans la vision originelle de « la civilisation marchande ».
Celle qu’on confond depuis trop longtemps avec « société mercantile ».
Importer l’utile qu’on ne trouve pas chez soi, exporter l’utile que les autres ne trouvent pas chez eux.
Ne pas faire voyager le travail au gré de l’appétit des uns et de la misère des autres.
Ça me paraît sain…
J’aimeAimé par 1 personne
oula! de quel âge d’or parles-tu? celui où on échangeait des cotonnades contre du bois d’ébène?
J’aimeJ’aime
Ou qu’on pratiquait le commerce triangulaire?
J’aimeJ’aime
Non, pas ce temps là.
Plutôt celui où on fabriquait les chemises de lin en France et où elle ne faisaient pas le tour de la planète en cargo parce qu’on payait moins cher le miséreux de Dacca que celui de Roubaix… 😉
On a importé la pauvreté en exportant le travail.
Ceux qui le font sont esclaves, ceux qui ne l’ont plus sont chômeurs…
C’est la seule fois où j’ai pensé que le leader d’extrême-droite avait mis le doigt sur un point qui fait mal : « Importé des produits fabriqués par des esclaves pour les vendre à des chômeurs »…
C’est dire mon indignation du moment ! 😉
J’aimeJ’aime
ah oui c’était mieux quand c’étaient les enfants « de chez nous » qui étaient sous-payés et mal traités 😉
J’aimeJ’aime
Voir disparaître ces monstruosités qui polluent Venise et autres villes touristiques serait une bonne nouvelle.
J’aimeJ’aime
là il faudrait purement et simplement interdire, c’est une chose qui me semble si évidente et si facile à réaliser qu’il doit y avoir de terribles intérêts en jeu…
J’aimeJ’aime
Qu’un vent de joyeuse frugalité souffle dans les voiles de ce bel oiseau comme dans nos vies de consommateurs !
J’aimeJ’aime
« Rêvons, c’est l’heure » 🙂
J’aimeJ’aime
Vive La Cacahuète !
Et bravo à ces nouveaux Pépito !
J’aimeJ’aime
je ne comprends rien à ton commentaire mais ce n’est pas grave, il me semble joyeux 😉
J’aimeJ’aime
Voilà qui voguerait dans la bonne direction!
J’aimeAimé par 1 personne
exactement! on va chanter avec Hugues Aufray, tiens bon la barre et tiens bon le vent (ou un truc du genre ;-))
J’aimeJ’aime
On leur souhaite bon vent, naturellement !
J’aimeJ’aime
c’est évident 🙂
J’aimeJ’aime
J’adore ce projet, vraiment !
Ça donne de l’espoir dans ce monde de brutes…
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
J’aimeJ’aime
N’est-ce pas 🙂
J’aimeJ’aime