W comme wablieft?

98ème Devoir de Lakevio du Goût

devoir de Lakevio du Goût_98.jpg

Wablieft? semble dire Frédéric à Camille, qui marmonne quelque chose en regardant ailleurs.

Puis on se rend compte qu’elle lorgne le pique-nique étalé sur un drap blanc.

Et qu’elle a apparemment très, très envie d’une part de ce gâteau au chocolat.

Ben quoi?
Elle n’a que dix-huit ans, la gamine, et le grand air, ça creuse!

Claude Monet - Le dejeuner sur l’herbe.JPG

***

Texte écrit pour le tableau et la consigne de Monsieur le Goût – merci à lui:

Que diable Bazille est-il en train de dire à Camille ? Cette toile de Monet, dite « Les promeneurs » me pousse à me demander pourquoi Camille semble se détourner de Bazille. Et Bazille ? Pourquoi semble-t-il faire tant d’efforts pour être convaincant ? Vous vous demandez ce qu’il dit et je me demande où il veut en venir mais lundi nous en saurons peut-être plus…

29 commentaires sur « W comme wablieft? »

    1. C’est monsieur le Goût qui présente la chose ainsi, ce n’est pas ma lecture, d’ailleurs ce pauvre Bazille ne parle même pas, il a l’air un peu abasourdi 😉

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  1. Sous-titre du tableau et du texte : en route vers la grossophobie ? OK je sors !

    Mon interprétation – mais elle prendrait des plombes à écrire – : il sait que ce pique-nique n’est qu’un piège pour la faire passer dans une autre dimension ou Manet deviendra Monet – il n’y a qu’une lettre à changer ! – et où elle posera nue pour ce fameux déjeuner sur l’herbe.

    https://www.lescereales.fr/culture/le-dejeuner-sur-lherbe-de-manet-monet

    – Ne laisser que son postérieur à la postérité, ce n’est quand même pas top, Camille !
    – En même temps, la postérité, on s’en tape, Bazille !

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  2. Peut-être que Basile dit à Camille : attention, tu vas salir le bas de ta robe. 😉

    C’est très terre-à-terre, je sais mais je me suis toujours demandée dans quel état devaient être le bas de ces robes si longues des dames à l’époque, lorsqu’elles se risquaient dehors.. 😉

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      1. c’est normal, c’est une pensée qui me vient toujours spontanément aussi, et je plains les servantes et autres lingères qui devaient entretenir de telles garde-robes!

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