B comme bimbo

E un bimbo, lit-elle en page quatre du cours d’italien grâce auquel l’Adrienne a acquis ses premiers rudiments, il y a vingt ans.

Un bimbo, un bébé. Una bimba si c’est une fille.

– Alors il faudra que je le retienne, ce mot-là!, dit-elle.

C’est qu’elle est motivée: son second fils vient de lui apprendre que sa compagne est enceinte.
Or, elle est italienne et le couple se cherche un appartement à Rome.

– Si je veux que cet enfant me comprenne, dit-elle, il faut que j’apprenne l’italien!

Avouez que c’est beau, l’amour d’une (future) grand-mère 🙂

23 commentaires sur « B comme bimbo »

      1. Non, moi, c’est plutôt prof un jour, prof toujours. J’ai étudié l’anglais pour pouvoir les aider à faire leurs devoirs.

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  1. Le métier de grand mère c’est le plus beau des métiers
    Il ne s’apprend pas , il se vit
    Pour moi c’est je crois encore mieux que celui de Maman
    Les grands parents sont les piliers de leurs petits enfants
    C’est ce que j’ai vécu avec mes trois p’tits rois et je le vis encore avec eux 23, 23, et 16 ans
    Ils sont toujours aussi adorables 🙂
    Bonne journée Adrienne

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  2. Je n’ai eu qu’un bimbo et je suis grand-mère d’une bimba et là arrière d’une bimba. J’aime beaucoup ces mots en italien c’est d’une belle sonorité.

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  3. C’est un grand défi mais je comprends, c’est important de pouvoir communiquer avec ses petits-enfants!
    Pour le premier, je n’ai pas dû apprendre une langue mais j’ai dépensé toutes mes économies en billets d’avion!

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  4. De quelques unes de tes précédentes note, je retire que tu as réussi à apprendre la langue de Dante.
    Mais comprends tu tes petits-enfants ?
    (je te demande ça parce qu’Heure-Bleue et moi parlons tous deux le français mais que je ne peux toujours pas dire que je la comprends. 😉 )

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