O comme Outlaw

Rien à voir avec Lucky Luke, cet Outlaw Project mais on comprend que le nom choisi est un clin d’œil.

On est loin des méfaits des frères Dalton, on est plutôt dans le fait divers ou comme sur l’illustration ci-dessus, la poursuite judiciaire d’une femme qui n’a pas envoyé son fils à l’école tous les jours, comme la loi l’y oblige.

Dans la colonne ‘aard der feiten‘ (nature des faits qui ont donné lieu à une poursuite judiciaire) on a noté le mot ‘Schoolverzuim‘, absentéisme scolaire. Ce qui coûte une amende de 5 ou de 10 francs.

Comme tant d’autres beaux projets, celui-ci non plus n’est pas possible sans l’aide de nombreux bénévoles: répertorier et encoder, c’est un travail qui prend des heures.

source ici

14 commentaires sur « O comme Outlaw »

  1. Il n’y a hélas pas assez de contrôle assidu et surtout en connaître la cause de ces absences car souvent ces enfants sont en danger ☣ mais l’administration est si peu efficace que c’est hélas trop tard dans certains cas 😦
    Bonne journée Adrienne

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    1. on est assez démuni, à l’école, pour agir efficacement et pourtant, comme tu dis, l’absentéisme cache toujours un ou des problèmes plus profonds, et qu’il faudrait traiter!
      Merci, bonne journée!

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  2. Je suis passionnée par la généalogie et j’ai trouvé ces dernières années une multitude d’informations dans ces données numérisées. Avant j’écrivais aux Archives départementales, joignant une enveloppe timbrée pour espérer une réponse, ou alors je chargeais un club de généalogie de faire la démarche pour moi dans la ville concernée, je les rétribuais en timbres…
    Dans le cas que tu évoques, la lecture est poignante, on allait en prison ou au bagne pour si peu à l’époque. Bravo à tous ces bénévoles en effet, merci à eux. Douce journée dame Adrienne. brigitte

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    1. oui, on allait en prison pour peu de choses et la raison numéro 1 était en fait la pauvreté, la femme qui n’envoie pas son fils à l’école tous les jours agit ainsi parce qu’elle a besoin de lui à la maison, pour garder les plus jeunes ou pour l’aider à un travail…

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    1. aujourd’hui il en faut, des jours d’absence, avant qu’une machinerie ne se mette en branle… et elle reste purement administrative.
      Bien sûr l’école agit, mais n’a que « la parlotte » pour convaincre le jeune et ses parents 😉

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