Nous avons repris de la mythologie gréco-romaine que ce sont les Muses qui inspirent l’artiste.
Dans la tradition arabe, nous dit-on, ce sont les Djinns qui murmurent à l’oreille des humains et peuvent exaucer leurs vœux ou enflammer leur imagination.
Les deux artistes, la Belge et l’Irakien, ont rassemblé leurs deux traditions musicales et leurs instruments, l’oud pour l’un, le luth pour l’autre.
Ils jouent ensemble des morceaux issus de la Renaissance européenne – Alfonso Ferrabosco, Francesco da Milano, Pierre Attaignant, Robert de Visée… – et de la tradition arabe.
C’était un très chouette concert dimanche dernier dans la petite ville de l’Adrienne 🙂
Plus d’info sur ce programme? c’est ici.
Adrienne 
Muses ou Djinns, qu’importe, l’ensemble oud-luth est si harmonieux ! Un régal pour les oreilles ce matin cette musique de la Renaissance, merci, on en redemande!
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Oui c’était vraiment un beau concert !
Bises, bonne journée.
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Tout le monde sait que les Djinns sont toniques !
http://samedidefi.canalblog.com/archives/2009/03/14/12887366.html
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excellent!
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Oui, merci aux muses, aux djinns et aux autres de continuer à inspirer leurs élus.
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et nos élus, pour qu’ils ne cisaillent pas dans la culture 😉
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Le programme en lien vaut largement un temps de méditation en ce temps de l’Avent. Un moment suspendu de communion qui régénère !
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oui cette musique est une bonne chose 🙂
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Symboles à tous les étages, et la musique est belle. Que ne peut-elle vraiment adoucir les mœurs …
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en effet, haute valeur symbolique 🙂
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J’aime cette musique orientale.
Le Djinn dans la religion musulmane évoque surtout le Diable 😉
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hé oui nos religions ont pour spécialité de remettre à leur sauce ce qui existait avant elles 😉
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J’ai été dégoûté de certaines musiques par un prof qui était fou de Guillaume de Machaut.
J’ai été récupéré en écoutant certaines mélodies du « Jeu de Robin et Marion » d’Adam de la Halle ou extraites du Manuscrit de Bayeux.
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bel exemple du triste destin de prof, tu crois leur apporter du beau et ils en sont écoeurés 😉
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En plus, ce prof était un aigri.
La fameuse « crampe du pianiste » l’avait frappé au mauvais moment et l’avait privé, disait-il, du 1er prix de piano du conservataoire.
Bilan, il nous saoulait avec ses regrets et se consolait avec des motets.
Sur les profs de musique que j’eus au lycée, une seule me fit aimer la musique, c’était en sixième.
L’autre ne m’en a pas dégoûté mais ce fut limite…
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Très beau et très stimulant duo. Juste une angoisse de cycliste surréaliste : peut-on transporter un théorbe sur son dos quand on roule à bicyclette ? 😉
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prends ton ukulélé pour tes déplacements à vélo 😉
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Un beau duo en harmonie, merci !
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merci à toi, bonne journée!
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Muses ou djinns, du moment que l’inspiration fonctionne et donne de beaux résultats, c’est l’essentiel!
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très juste!
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J’ai été très intriguée par le luth utilisé dans la deuxième partie de la vidéo, avec son deuxième jeu de cordes et son manche interminable! Je n’en avais jamais vu mais je viens d’apprendre qu’il s’agit d’un chitarrone! 😉
Et oui, la musique est bien belle, alors merci!
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merci à toi, bonne nuit!
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Que vivent les muses et les djinns et, il est vrai qu’au pays de la musique, toutes les femmes et les hommes s’aiment ; ce n’est pas comme au pays du football !
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tu as tout à fait raison 🙂
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