« Le quadrille est en fait une contredanse », lit l’Adrienne après avoir pris connaissance du mot proposé par Walrus au Défi du samedi, mais ça ne l’avance guère, ça lui rappelle juste une petite phrase de la comtesse de Ségur, prononcée par Yolande Tourne-Boule à l’intention de Léon, pour lui dire qu’elle l’engage pour la première contredanse à l’occasion d’un bal que sa mère ne manquera pas de donner dès qu’ils seront installés dans leur bel hôtel parisien.
Oui, l’Adrienne vers ses onze ans a tellement lu Les vacances qu’elle peut encore en réciter des passages par cœur 😉
***
Pour les autres fans de la Comtesse, voici le passage:
« Je suis très satisfaite, messieurs et mesdemoiselles, dit-elle, de vous connaître avant de quitter le pays ; j’espère que vous viendrez me voir à Paris, à l’hôtel Tourne-boule, qui est à mon père, et qui est un des plus beaux hôtels de Paris. Je vous ferai inviter aux soirées et aux bals que ma mère compte y donner. Et même, pour ne vous laisser aucune inquiétude à ce sujet, je vous engage, monsieur (s’adressant à Paul), pour la première valse, et vous, monsieur (s’adressant à Jean), pour la première polka, et monsieur
(s’adressant à Léon), pour la première contredanse. »
Pour les Die Hard, il y a même le texte entier en e-book gratuit, merci la Bibliothèque électronique du Québec!
Adrienne 
Merci à toi pour ce défit bien relevé
« Vous savez que les alliés sont comme les amis qu’on appelait de mon temps au quadrille : on changeait d’amis à chaque coup, » Voltaire
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Merci pour cette citation de Voltaire !
Bonne journée.
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J’ai bien lu la comtesse de Ségur mais mon seul souvenir c’est la petite qui a tué une abeille et sa mère qui lui en fait faire un collier qu’elle a dû porter jusqu’à ce que les morceaux se détachent et la poupée fondue au soleil. bises
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Oups! C’est peut-être dans les Malheurs de Sophie ? Celui-là je ne l’ai lu qu’une fois, il me rendait trop triste 😉
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oui dans les malheurs de Sophie ce qui fait que à part un bon petit diable je ne suis pas allée plus loin. Il faut dire que jusqu’à 15 ans découverte d’Agatha Christie, je n’aimais pas lire et on me forçait la main si j’ose dire avec Bécassine et autres ce qui fait que je n’ai aucun goût pour la BD et la comtesse est resté au oubliettes. Avec le sourire
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ah oui, c’est tout à fait différent, moi j’étais avide de lecture et je n’avais que la comtesse sous la main, grâce à une amie de ma mère, ce qui fait que mes éditions datent des années 1930 et n’ont pas été édulcorées 😉
(le bon petit diable, je ne l’ai jamais relu non plus, il me rendait trop triste ;-))
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Bravo pour votre mémoire.
J’ai aussi lu ce livre enfant mais je suis incapable de me souvenir de l’histoire.
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je l’ai lu plus d’une fois et j’avais même décidé de lui écrire une suite 😉
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Je me souviens mieux des malheurs de Sophie.
Par exemple, j’y avais appris que la chaux brûlait.
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J’ai eu l’occasion de lire deux livres en version intégrale, un pied de nez à l’opposition radicale de mes parents envers la religion !
Merci pour le mot « die hard » que je ne connaissais pas.
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j’avais d’abord mis « aficionado » mais sa connotation tauromachique me déplaît 🙂
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Des contredanses à Paris ? Quoi de plus banal !
Et tu sais bien sûr que la Country Dance des Américains vient d’une déformation de contredanse…
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c’est ce que j’ai lu sur wikisaitout, en effet 🙂
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J’ai lu quelques livre de la Comtesse de Ségur mais pas celui-ci. Les malheurs de Sophie, les petites fille modèles, j’en garde peu de souvenirs en fait !
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quelques-uns de ses titres restent de bons souvenirs, le Général Dourakine, par exemple, ou la Fortune de Gaspard 🙂
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Un bon petit diable me faisait très peur. J’aimais beaucoup le nom de la comtesse née Rostopchine 🙂
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oh oui, cette touche d’exotisme! et apprendre que dourak, en russe, veut dire fou 🙂
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Belle mémoire, je ne me souviens même pas si je l’ai lu, et pourtant, enfant j’ai beaucoup lu
La polka, talon, pointe et pas chassés, souvenirs de jeunesse 🙂
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c’est sans doute là l’explication: à partir du moment où j’ai beaucoup lu (à douze ans j’ai enfin eu la permission de m’inscrire à la bibliothèque et là j’ai TOUT lu ;-)) les souvenirs sont beaucoup moins précis 😉
et je serais incapable de citer un passage du Club des Cinq, ni de raconter une intrigue, alors que je les ai tous lus 😉
(comme quoi mon excellent professeur Angelet avait raison, une fois de plus, quand il disait: vous ne pourrez jamais tout lire donc il faut privilégier la qualité des lectures plutôt que la quantité)
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La comtesse a aussi fait partie de mes lectures d’enfance.
Mémoires d’un âne, le général dourakine, les bons enfants, les petites filles modèles…que de belles histoires !
Quant à la contredanse, elle était certainement plus agréable que son homonyme policier…
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
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certainement 🙂
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J’en ai lu pas mal mais pas celui-ci… Et je ne pense pas pallier cette lacune maintenant! 😉
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non, pour notre culture on ferait mieux de relire Proust 😉
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Les bouquins de la Comtesse de Ségur étaient les livres qu’à l’époque de mon enfance, les enfants devaient absolument lire.
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ma mère pendant sa jeunesse n’avait lu que du Berthe Bernage 😉
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Heureusement, dans la ruelle du lit du côté de mon père j’ai trouvé les romans de San-Antonio.
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ça compense les « c’est le bon dieu qui te punit » chaque fois qu’il arrive une chose désagréable à un personnage 😉
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Je n’ai pas lu ce livre de la comtesse de Ségur.
Je me souviens des Malheurs de Sophie, des Petites filles modèles, du Bon petit diable… Il y avait beaucoup de choses que je trouvais étranges et que je ne comprenais pas bien, dans le langage, les situations d’une autre époque… Mais les violences et châtiments à l’encontre des enfants, oui! et ça me rendait triste aussi.
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oui les enfants mal-aimés ou les belles-mères et marâtres qui les fouettent et ces choses-là…
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Bonsoir du samedi chère Adrienne … et bon quadrille en quadrette et +++ (juste en pensées) ! bises
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merci, bonne soirée!
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