K comme killer

47 commentaires sur « K comme killer »

  1. Montée d’escalier assez austère
    Qui s’accommode avec ce mystère
    Que ne ferait-elle pas faire la curiosité
    Tel un chat en position de killer de souris
    @ pas de velours
    Elle descend l’escalier …
    Bon lundi Lucienne

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  2. Bien trouvé.
    Avec un escalier de marbre, peu de chance qu’une marche ne craque mais on n’est jamais assez prudent, s’est-elle dit avant de commettre son crime.
    😉

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  3. Quand le doute s’est instillé dans un couple, c’est terrible.
    Un accroc à la confiance est terriblement rétif aux « reprises » et, comme disait ma grand-mère, « le reprisé, ça ne vaut pas le neuf »…

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  4. C’est vrai : quand on a a proximité le journal intime d’un·e futur·e prix Nobel de littérature on a quand même envie d’y jeter un coup d’oeil !

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  5. Oh que oui : ça sent la mère qui veut absolument savoir ce qu’écrit sa fille ! J’ai connu dans mon adolescence quand ma maman cherchait à voir ce que j’écrivais et fouinait partout pour trouver les lettres de mes petits amoureux. Très explicite pour moi Adrienne !

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  6. Coucou, le saura-t-elle un jour ?
    Ces escaliers blancs semblent silencieux sous ses pieds, tant mieux.
    Je me suis mise en « pause arrêt image » pour ce qui me concerne. Mon cerveau a besoin de sérénité… néanmoins, je félicite les aminautes qui ont écrit.
    Bises du lundi.

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  7. J’avais bien imaginé la rapport mère-fille aussi !
    (surtout qu’un carnet rose, c’est rarement celui du mari)

    Je trouvais que j’avais fait court, cette fois-ci…
    mais tu m’as battue à plate couture ! 🙂

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