Il y a des choses comme ça que l’Adrienne adore lire, parmi toutes les nouvelles plus mauvaises les unes que les autres, des choses comme ça, donc:
« Récemment élue deuxième ville la plus dynamique en matière d’agriculture urbaine derrière Montréal, Bruxelles-Capitale compte aujourd’hui 38 fermes urbaines. Mais aussi plus d’une cinquantaine de projets de production. Et près de 150 initiatives visant à nourrir les citadins avec des produits qui ont poussé à deux pas de chez eux. »
Source et article complet ici.
Mais encore?
« Selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), l’agriculture urbaine peut avoir des rendements jusqu’à 15 fois supérieurs à ceux de l’agriculture conventionnelle pratiquée dans les zones rurales.
À l’année, un mètre carré de surface cultivée peut produire près de 20 kg de nourriture. Des chiffres impressionnants qui ont été corroborés par 200 études menées dans 147 villes de 53 pays, et qui ont été passées au crible par une équipe multidisciplinaire emmenée par des chercheurs de l’université de Lancaster. »
Bref, il y a encore du (beau) boulot à faire, puisque malgré ces belles productions bruxelloises de « plus de 470 tonnes de nourriture de qualité » et une « production de fruits et légumes qui a doublé en 4 ans » ça ne permet encore de nourrir que 0,3 % des habitants.
Mais 0,3 % de plus d’un million, ça fait tout de même du monde, et vous connaissez la fable du colibri, n’est-ce pas 😉
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Pour une carte avec tous les endroits bruxellois concernés, c’est ici.
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