E comme expérience et espérance

A cinq ans, je croyais à la force de la pensée.

A dix ans, je faisais des marchandages avec Dieu.

A quinze ans, j’ai perdu confiance dans les hommes.

A vingt ans, je me suis tout de même mariée.

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L’espérance est toujours plus forte que l’expérience

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17 commentaires sur « E comme expérience et espérance »

  1. c’est vrai, Berthoise, j’en avais même dans les cheveux 😉
    (malheureusement, et c’était sans doute prémonitoire LOL, ma mère a tout jeté dès le lendemain ;-))
    bonne journée sous le soleil du Vexin, je suppose que chez toi aussi on promet des trente degrés pour les jours qui viennent?

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  2. Dis donc, tu es drôlement forte, tu réponds avant que je commente. Si c’est pas de la prémonition, ça, je mange ma souris ! 😀

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  3. Coïncidence, dans ma voiture voici deux jours, j’écoutais l’interview du metteur en scène de la production actuelle de ton théâtre préféré, Romeo Castellucci, lequel déclarait un truc du genre « l’espérance c’est un peu comme chercher une raison de ne pas agir en pensant que les circonstances vont faire les choses pour vous ».
    Faut dire qu’il avait un tas d’autres théories fumeuses notamment à propos du théâtre. 🙂

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  4. Effectivement c’est l’espérance qui nous soutient, enracinée en nous même dans les moments les plus pénibles.
    L’Espérance : la plus solide des assurances-vie ?
    Amitiés,
    Marc

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  5. mange-la, Berthoise 😉
    j’ai lu ton message, j’y ai répondu… je ne sais pas pourquoi ma réponse s’affiche avant! 😉
    c’est sûr, Mme Chapeau 😉
    à vingt ans on est riche d’illusions, malgré tout 😉
    ah oui, Walrus! je serai curieuse de le voir, c’est le dernier dans mon abonnement
    je me pose la question, Marc… il paraît que ça aide les malades (du cancer, par exemple) mais je préfère espérer avec prudence, pour ne pas être trop déçue 😉
    merci et bonne soirée à tous!

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  6. J’ai deux comm’s-gazouillidiots pour ce billet :
    1) Si ton espérance est de me voir connaître un jour le nom des fleurs que je photographie, tu as raison : je ne crois pas que personne ne fera jamais l’expérience d’un Krapov botaniste (tout immortel qu’il est, tel que je le connais, il préférera sans doute retourner jouer aux échecs) 😉
    2) J’ai chanté hier à l’ombre d’un arbre en Aquitaine : « C’est l’espérance folle qui nous console de tomber du nid… »
    – Eh ! Faut agiter les ailes pour voler, aussi, les piafs !
    OK, je sors !

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