P comme Peinture

48 commentaires sur « P comme Peinture »

  1. J’aime votre interprétation et votre façon de la raconter.
    Passez un bon lundi.
    Ici, c’est le chat qui, parfois, ne respecte pas le sommeil des bipèdes.

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  2. – Eh oui, c’est comme ça la vie ! Les femmes épousent d’anciens garçonnets et les hommes de futures mères !

    – Plutôt que de sortir des aphorismes à la con comme celui-ci, tu ferais mieux d’aller te recoucher, Joe Krapov !

    😉

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  3. Ben voilà ! C’est tout à fait ça quand on a laissé l’homme prendre de mauvaises habitudes !
    Je ne dirais pas : ça sent le vécu personnel, mais je l’ai pensé !
    Mesdames vous êtes trop bon avec le mâle : c’est mal !

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  4. Coucou chère Adrienne,
    Ô ! J’ADOOORE TON TEXTE !
    IL EST GÉNIAL !
    Tu m’étonneras toujours… tant tu as de la ressource, donc j’admire !

    Hier, rentrée pas trop tard, j’ai donc écrit quelques lignes sans prétention… mais qui « reposent » pour l’instant … espérant -malgré mon statut de « retraitée »-, trouver un peu de temps pour le publier dans l’après-midi, souriant à l’évocation de : « Tu dors » ? mais je n’irai pas plus loin dans ce « rêve éveillé » …
    De bien gros bisous à toi et tes chers lecteurs… belle journée à tous,

    Ici sur Lyon, orage … et pluie bienfaitrice à 5h du matin, hum… on ressent les bonnes odeurs de la terre abreuvée, je te fais un « paquet cadeau » de cette grâce-là et te l’envoie par nuages…

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    1. Belle expression!
      ça résume bien ce que disait mon grand-père: si tu fais bien une chose, on va te demander de la faire encore, donc il vaut mieux ne pas savoir (hoe meer je kan doen, hoe meer je gaat moeten doen)
      🙂

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  5. Ca me fait toujours rire ce « tu dors » ? « ben, voyons, maintenant je fais quoi, je me rendors ? »…Ce matin, je me lève, j’essaie de ne pas faire de bruit..Et puis je regarde dans l’entrée, les chaussures de mon mari n’étaient plus là..Je retourne dans la chambre, le lit était vide »…
    Déjà sorti le mari….sans cravate…Il adorait tellement mettre une cravate quand il bossait, qu’il lui arrive de les sortir, de les ranger, de les compter, de les regarder avec amour, de me raconter dans quelles circonstances ou pour quelle occasion il avait acheté telle ou telle cravate »..il n’y a pas longtemps, il en a donné une à un jeune homme qui devait mettre une cravate grise dans son travail..Bon, c’en était une qu’il n’aimait pas trop…A une époque, si on lui avait demandé de choisir entre sa femme et une cravate, pas sûr qu’il m’eut choisie »…d’autant plus que je n’ai jamais réussi à faire un noeud ou alors, j’oubliais aussitôt appris…

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    1. hé oui, c’est contraire à toute logique et par conséquent ce n’est pas une question, c’est une injonction: réveille-toi 😉
      les noeuds de cravate, c’est moi qui les faisais, vivre sans homme c’est ne plus avoir des tas de chemises à repasser ni de noeuds de cravate à faire 😉
      (enfin, je parle pour moi, bien sûr, mon père et mon grand-père savaient faire leurs noeuds de cravate eux-mêmes)

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      1. J’ai tellement aimé acheter des cravates, je me souviens du vendeur- collectionneur passionné qui me montrait des cravates numérotées hors de portée de mes finances parce que je savais apprécier tissages et broderies.

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