C comme café

40 commentaires sur « C comme café »

  1. Nous avions un copain restaurateur grec (une amitié gagnée à coup d’additions bien senties) qui pratiquait ce genre de « sport ». Je lui commandais du café turc et il me répondait « Désolé, nous n’avons que du grec ! »

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  2. Je n’aime pas le café dans lequel il y a du marc, quelque soit le nom qu’on lui donne.
    A la naissance de mon deuxième fils, ma collègue qui avait un certain don, m’avait dit qu’il n’aurait aucun bien venant de son père, 33 après sa prédiction s’est révélée juste, les 3 autres ont terres et maison, lui n’a « que » de l’argent. A l’époque je n’y avait pas cru.

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    1. de l’argent, c’est un legs aussi, tout de même?
      je suppose que parmi les choses qu’on prédit, il y a forcément du vrai, mon frère est allé consulter une voyante plusieurs fois, elle a confirmé ce qu’il pensait déjà 😉

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  3. Étrange comme les souvenirs s’enfouissent, ne laissant qu’une partie resurgir: j’avais seize ou dix-sept ans (fin des années 80) lorsque mes parents ont décidé d’un voyage -à deux- en Roumanie. Je me souviens du premier violon de l’orchestre de ma ville, jeune roumain magnétique, venu manger à la maison et leur demandant de lui ramener son instrument qu’il avait dû laisser là-bas. Subjuguée par sa beauté, je n’avais pas compris tout de suite pourquoi ils avaient fini, la mort dans l’âme, par refuser. J’ai gardé de cette histoire la méfiance indéfectible pour les rouges écrevisses bien pensants et le goût inaltérable pour les pommettes hautes.
    Merci Adrienne!

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    1. merci à toi!
      oui c’est comme ça que ça marche, les souvenirs enfouis, il suffit d’un fil 🙂
      c’est comme ça que m’est revenu ce souvenir de la dame liseuse de marc de café, c’est une anecdote que j’avais « oubliée » et puis pas oubliée, en fait 🙂

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