G comme glycine

DSCI7209

Gros travaux dans la maison que la nipotina s’est achetée, où à peu près tout a été refait à neuf… 

De la chambre d’amis, on admire la glycine sur le mur d’en face. Bien que toute jeunette, elle a déjà quelques grappes fleuries et même un nid d’oiseaux datant de l’an dernier 🙂

C’est beau, la nature, et c’est presque encore plus beau en ville 🙂

28 commentaires sur « G comme glycine »

  1. La photo date de maintenant? Les glycines fleurissent tout juste maintenant ici, ce qui me fait penser que cette année les températures sont assez similaires ici et là-bas!

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  2. L’occasion de réécouter la chanson de Serge Lama,…
     » Sur le mur y avait des glycines
    Sur le mur y avait des glycines
    Toi, tu portais un tablier bleu
    Toi, tu portais un tablier

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  3. J’adore le graphisme de la photo, la glycine que je n’avais pas perçu d’emblée lui donne sa signification. Bravo !
    Profitez bien d’Ostende et de votre nipotina.

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  4. Profitez bien de ce nouveau logement.
    Quand j’étais ado, mes parents allaient voir des amis à Ostende. Je devais les supplier de me laisser aller voir la mer.

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    1. elle ne déménagera que l’été prochain, il n’y a encore ni cuisine ni salle de bains 🙂
      (pareil pour moi pendant les longues années de mon mariage, on allait chez mes beaux-parents mais jamais je ne voyais la mer)

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  5. Habiter une ville côtière et ne pas aller voir la mer me semble une hérésie pour moi qui regrette d’en être si éloignée depuis toujours ….
    J’adore le « quadruple » vitrage. La première chose que je regardais en visitant les pays plus au nord , c’était cette particularité : quelquefois même, l’espace est suffisant pour y loger des plantes vertes qui se plaisent vers la lumière.
    La glycine, ici, dans le square sous mes fenêtres, n’est toujours pas en floraison, malgré le temps doux un moment mais suivi d’un « coup de frais ». Mais qu’elle prenne son temps, les arches qu’elle habille seront très belles, comme d’habitude.

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    1. il n’y a pas de « quadruple » vitrage dans nos maisons belges, ce que tu vois c’est la moustiquaire.
      Et oui, j’essayais bien de parlementer, avant le départ pour Ostende, d’obtenir le droit d’une petite promenade « pour voir la mer », mais c’était peine perdue…

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  6. Tu pourras admirer cette glycine au réveil quand tu dormiras là et aussi l’activité des oiseaux autour du nid – nous avons eu du plaisir à voir des pies rafistoler celui de l’an dernier, en face de nos fenêtres, que les jeunes feuilles commencent à masquer. Tu as raison : en ville, toute manifestation de la nature est appréciée.

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  7. je suppose que « nipotina » fait comme tout ceux qui vivent ou ont vécu au bord de la mer, passés les premiers jours elle ne met les pieds sur le bord de mer que quand elle y accompagne des amis venus la visiter.
    Une glycine en hiver, c’est triste à mourir…
    Au printemps, c’est beau à pleurer.
    Il faudra refaire cette photo -si « nipotina » le veut bien- quand la glycine sera en fleurs.
    Et, bien entendu, nous écrire une note… 😉

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  8. Comment ne pas s’émerveiller des grappes de pluie mauve dans la rue d’une ville, et du nord ? Dans quelques jours, le mur tout en couleurs et vie.
    (J’espère qu’on l’a déjà bien attaché car en grandissant, ça pèse !)

    Adrienne, prolixe, je vous suis mais ne m’arrête pas à chaque fois… Intéressant ce que vous faites avec Lakevio

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  9. « C’est beau, la nature, et c’est presque encore plus beau en ville. »
    Je confirme et j’ajouterais volontiers « quand les bétonneurs songent à en laisser un peu » mais je suis entré dans le défi d’un mois sans me plaindre alors youpi tralala ! 😉

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  10. Je vais chaque année passer une journée à Ostende, mais je préfère le calme de Coxyde pour séjourner plus longtemps. Mais Coxyde me rappelle des souvenirs d’enfance, ce qui explique mon attachement à cette station balnéaire. Bonne semaine Adrienne.

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      1. C’est tout à fait le sens que j’allais donner à ma réponse.
        Je ne dirais pas que la nature est plus belle en ville, mais plus touchante. Et j’admire encore plus la force et la vitalité qu’elle déploie pour s’y épanouir.

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