H comme héron

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On voit beaucoup ces jours-ci qu’en divers lieux de la planète la faune sauvage investit les endroits délaissés par les humains.

Mais derrière l’académie de musique, dans le ruisseau, tout est comme d’habitude: les petits poissons, les grenouilles, les poules d’eau, les libellules, les canards… et un héron.

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photo prise le soir du 16 avril

37 commentaires sur « H comme héron »

      1. Ils sont plusieurs sur mon parcours, qui fait environ 30 km. Quant à savoir s’ils nidifient … Moi j’y passe (enfin, passais) en voiture …

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  1. « Un héron au long bec emmanché d’un long cou
    Suivi d’un seul housard qu’il aimait entre tous »…

    Je m’inquiète : saurai-je encore faire du vélo demain ?

    Bon dimanche à tout le monde !

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    1. mets ton casque et tes protections pour les coudes et les genoux et fais d’abord le tour du pâté de maison (mais pas comme le papa du petit Nicolas et son voisin monsieur Blédurt!)

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  2. Ici, les outardes arrivent à grandes volées et leurs cris dans le ciel est une joie à entendre.
    Cette année il y en a tellement qui remontent. Probablement qu’elles rencontrent moins d’obstacles durant leur parcours.

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  3. Les hérons n’ont pas attendu le confinement pour prospecter les bassins à poissons rouges de la Région Parisienne. On en a surpris à plusieurs reprises près du notre et l’un deux était justement en train d’essayer d’engloutir un de nos poissons presque trop gros pour qu’il puisse l’avaler mais il s’obstinait. Il s’est sauvé quand il nous a vus.
    Nous avons été obligés de poser un filet sur le bassin et ce n’est pas très esthétique…

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    1. non les animaux sauvages de mon billet sont toujours présents, depuis longtemps, et c’est un bonheur de se promener derrière l’académie 🙂
      (on ne peut pas en vouloir à l’animal de se nourrir de ce qu’il trouve, ne faisons-nous pas la même chose ;-))

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  4. Depuis que j’ai déménagé, j’ai découvert le vol journalier des hérons au-dessus des jardins derrière chez moi : beaucoup d’entre eux nichent dans le domaine royal de Laeken, d’où ils partent le matin et où ils rentrent le soir – un vol lent, très reconnaissable avec leur cou en s. C’est chaque fois une bonne raison de s’arrêter quand on en voit au bord de l’eau. Bonne après-midi, Adrienne.

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      1. Normalement, les hérons nichent en colonies au sommet des arbres. Un tel lieu s’appelle une héronnière.
        Personnellement, je n’en ai jamais de héronnière. Tania a de la chance.
        😉

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  5. Oh oui, le chant des grenouilles! Je n’en ai pas encore entendu cette année, il faut que je retourne me promener près des étangs le soir…
    Les hérons, il y en a beaucoup par ici, au grand dam des pêcheurs qui leur reprochent de piquer leurs poissons sans avoir payé le permis !!!

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