On voit beaucoup ces jours-ci qu’en divers lieux de la planète la faune sauvage investit les endroits délaissés par les humains.
Mais derrière l’académie de musique, dans le ruisseau, tout est comme d’habitude: les petits poissons, les grenouilles, les poules d’eau, les libellules, les canards… et un héron.
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photo prise le soir du 16 avril
J’aime aller écouter les grenouilles. En ce moment, elles mènent un sacré ramdam.
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Oui j’aime aussi 🙂
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Il y avait toujours un héron dans un des étangs du domaine des trois fontaines, il y est sans doute encore mais je ne peux pas aller vérifier…
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Je me demande ce que les animaux pensent du confinement 🙂
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Le garde-manger du héron est bien rempli.
😉
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Il n’est pas… bête 😉
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Quelle belle photo, on rêve à « tout est comme d’habitude »…se transformer en hérons?
Bon dimanche dame Adrienne.
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si j’étais un animal sauvage, je ne serais pas tranquille une minute, sauf bien sûr si l’homme reste confiné 😉
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La poule d’eau c’est pas bon à manger.
Je le sais, j’ai essayé…
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belle illustration de ma réponse au commentaire précédent 🙂
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Quand tu mords dans une carotte elle ne doit être bien contente… 😉
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quand je découpe un poivron en lamelles, je me demande qui souffre le plus, le poivron ou moi 😉
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Pour notre plus grand plaisir on croise tous les jours les mêmes canards qui n’ont même pas peur de nous 😉
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en allant chez ma mère ce matin j’ai vu un vol de canards sauvages, ça m’émeut toujours des choses comme ça 🙂
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Sur les berges de la rivère qui mène à Liège, il y a toujours des hérons. Trop longtemps que je ne les ai vus.
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plusieurs? ils y nidifient?
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Ils sont plusieurs sur mon parcours, qui fait environ 30 km. Quant à savoir s’ils nidifient … Moi j’y passe (enfin, passais) en voiture …
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maintenant que les arbres sont en feuilles, on ne verra sans doute pas les nids
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toujours un régal de croiser les « sauvages »
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oh oui toujours une agréable surprise!
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« Un héron au long bec emmanché d’un long cou
Suivi d’un seul housard qu’il aimait entre tous »…
Je m’inquiète : saurai-je encore faire du vélo demain ?
Bon dimanche à tout le monde !
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mets ton casque et tes protections pour les coudes et les genoux et fais d’abord le tour du pâté de maison (mais pas comme le papa du petit Nicolas et son voisin monsieur Blédurt!)
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Ici, les outardes arrivent à grandes volées et leurs cris dans le ciel est une joie à entendre.
Cette année il y en a tellement qui remontent. Probablement qu’elles rencontrent moins d’obstacles durant leur parcours.
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ah oui! moins de trafic aérien, vous voulez dire?
(je ne sais pas quelles sortes d’oiseaux en souffrent le plus)
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Les hérons n’ont pas attendu le confinement pour prospecter les bassins à poissons rouges de la Région Parisienne. On en a surpris à plusieurs reprises près du notre et l’un deux était justement en train d’essayer d’engloutir un de nos poissons presque trop gros pour qu’il puisse l’avaler mais il s’obstinait. Il s’est sauvé quand il nous a vus.
Nous avons été obligés de poser un filet sur le bassin et ce n’est pas très esthétique…
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non les animaux sauvages de mon billet sont toujours présents, depuis longtemps, et c’est un bonheur de se promener derrière l’académie 🙂
(on ne peut pas en vouloir à l’animal de se nourrir de ce qu’il trouve, ne faisons-nous pas la même chose ;-))
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Depuis que j’ai déménagé, j’ai découvert le vol journalier des hérons au-dessus des jardins derrière chez moi : beaucoup d’entre eux nichent dans le domaine royal de Laeken, d’où ils partent le matin et où ils rentrent le soir – un vol lent, très reconnaissable avec leur cou en s. C’est chaque fois une bonne raison de s’arrêter quand on en voit au bord de l’eau. Bonne après-midi, Adrienne.
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je ne crois pas en avoir déjà vu en vol à plusieurs
merci et bonne soirée!
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Normalement, les hérons nichent en colonies au sommet des arbres. Un tel lieu s’appelle une héronnière.
Personnellement, je n’en ai jamais de héronnière. Tania a de la chance.
😉
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jamais vu de héronnière… je ne vois les hérons que solitaires 🙂
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Parfois, j’en vois deux qui se nourrissent dans le même champ.
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Toujours solitaires en vol, c’est vrai.
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Certaines choses ne changent pas.
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on aimerait que certaines choses ne changent pas 🙂
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Oh oui, le chant des grenouilles! Je n’en ai pas encore entendu cette année, il faut que je retourne me promener près des étangs le soir…
Les hérons, il y en a beaucoup par ici, au grand dam des pêcheurs qui leur reprochent de piquer leurs poissons sans avoir payé le permis !!!
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hé oui seul l’homme se donne le droit d’être un prédateur, ainsi que le droit de vie et de mort sur la faune et la flore…
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