J comme Jonathan Coe

Billy Wilder! Quand l’Adrienne a vu ce nom, en plus de celui de l’auteur dont elle a déjà apprécié deux autres livres, elle n’a pas hésité: comme Jonathan Coe sur son site perso, elle pourrait commencer ce billet par cette phrase: « I discovered Billy Wilder’s films in the late 1970s, when I was a teenager.« , j’ai découvert les films de Billy Wilder vers la fin des années 1970, à l’adolescence.

Le samedi soir, à la séance télé chez les grands-parents, il y a eu des films mémorables, comme Ninotchka, Sabrina, Sunset Boulevard, Seven year itch ou Some like it hot.

Il y en a eu qu’elle n’a d’ailleurs pas entièrement compris, à l’époque, comme Irma la Douce.
Ou dont elle se demande si on les montrerait aujourd’hui à des enfants, comme The Apartment.

Bref, voilà un livre qui n’est pas une vraie biographie – tout en étant fidèle à la réalité biographique – et qui se lit d’une seule traite.

Merci, Jonathan 🙂

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info sur le site de Gallimard pour la traduction française et lecture des premières pages ici.

L’illustration ci-dessus vient du site perso de l’auteur.

26 commentaires sur « J comme Jonathan Coe »

  1. Quand je lis « Irma la douce », je pense immanquablement à Colette Renard qui se rendit célèbre pour d’autres chansons…
    Et puis, j’ai vraiment beaucoup aimé « Testament à l’anglaise » (The Winshaw Legacy) de J.Coe.
    C’est une image sans fard de la cruauté et de l’hypocrisie de la société, et pas seulement anglaise. 😉

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  2. De Jonathan Coe, j’ai lu et beaucoup aimé « La vie très privée de Monsieur Sim », que je n’ai découvert qu’après avoir vu le film (excellent) avec Jean-Pierre Bacri.

    D’autre part, j’ai la plupart des films de Billy Wilder dans ma DVDthèque. C’est un de mes réalisateurs préférés.

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    1. je ne connais pas ce titre et l’auteur parle du problème de la traduction du titre original, What a carve up!:
      « That title to which I was so attached proved to be a real headache for my overseas publishers, all the same. Almost nobody managed to come up with an exact version of the phrase, although I’m told that the Swedish attempt, Huggsexa, comes pretty close. My German publishers chose to call the book Allein mit Shirley, emphasising my hero’s erotic obsession with the actress Shirley Eaton. In fact the title even had to be ‘translated’ for American readers as well, and in the US the novel was renamed The Winshaw Legacy. »
      Alors que c’est précisément ce titre (et ce film) qui l’ont inspiré pour le livre 😉
      (bon, je vois qu’il me reste pas mal à lire ;-))

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  3. J’ai lu et aimé ‘Expo 58’, de J Coe, et aussi ‘La pluie avant qu’elle tombe’.
    Faut que je me motive à retourner à ma petite bibliothèque pour en lire d’autres. Elle a été si longtemps fermée que j’en ai perdu l’habitude. Je me contente des boîtes à livres du village mais ça commence à manquer de choix!!! Alors merci pour les nouvelles idées qui me redonnent l’envie!

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  4. Le plus drôle est sans doute « Embrasse-moi idiot » que j’adore et il faudrait que je revoie « Ariane » et « Avanti » que j’ai beaucoup aimés aussi. Ah, Ischia ! (Encore un endroit où Marcel eût aimé emmener Céleste mais… (poursuivez, c’est l’incipit de notre premier atelier d’écriture proustien de l’année 21-22) !) 😉

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